repose
sur l’écart maximal entre le jour qui continue d’augmenter et la nuit dominée
qui diminue. La sève monte, mes os craquent comme pour menacer d’imploser, mes
muscles se détendent comme des cordons. La
chaleur nouvelle prend mon volume endurci par les
dernières fraîcheurs. Elle veut ma peau, elle me mord pour que je garde son
goût sur mes lèvres. Le lézard lui,
parcourt cette ruelle rétrécie - l’Alma mater - jusqu’à parvenir à la
dixième muse et me donner des fourmis dans les mains. Elles
m'inspireront un mobile…
Je ne sais pas si le lézard va faire bon ménage avec les fourmis ( ça chatouille la langue de lézard ?) - j'avais dit un commentaire intelligent, mais bah :-)